Los Angeles, 2019 : les USA sont sous la coupe d’une dictature qui a réduit les libertés publiques à néant et qui, grâce à des programmes télévisés bassement démagogiques, parvient à conditionner le comportement populaire. Le jeu-vedette, suivi avec passion par le pays entier, s’appelle « The Running Man ».
A la mort de son père, Charlie Babbitt, homme d’affaires pressé, hérite d’une vieille Buick qu’il convoitait depuis longtemps mais se voit spolié de quelque trois millions de francs versés à l’Institution psychiatrique Wallbrook au profit d’un bénéficiaire anonyme. Charlie se rend a Wallbrook et découvre l’heureux bénéficiaire. Il s’agit de Raymond, savant autiste, celui qu’il appelait dans son enfance Rain Man, qui représente ses seuls souvenirs heureux et qui n’est autre que son frère.
En 1962, les destins croisés d’un groupe de jeunes dans une bourgade de Californie, autour des courses de voitures, de la musique rock, des soirées et des rencontres.